L’argile
a un parfum, celui de la terre après la pluie
Je
la respire comme une nourriture
Puis
je m’attable à mon plan de travail
J’apprivoise
sa mollesse
Elle
apprivoise ma patience
Elle
me dit de mes rêves : « que le feu les
transporte ! »
Après
ces noces de feu
Surviennent
bonheurs
Et
parfois disgrâces…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire